Dans le cadre de l’ambitieux programme gouvernemental de modernisation des infrastructures routières, deux grandes rues vont bientôt être rénovées en vue d’améliorer la mobilité urbaine dans le Grand Lomé.
Il s’agit de la rue Carrefour Y-Adidogomé Massalassi (2km) et de la rue CEDEAO (Grand contournement-Entreprise de l’Union-RN5 Adidogomé 7,2 km) dont les études technico-économiques préliminaires ont reçu une approbation provisoire lors d’un atelier organisé par le ministère de l’urbanisme, de l’habitat et de la réforme foncière ce 06 février 2025 à Lomé.
Cet atelier a connu la participation des cadres du ministère, des représentants des préfets du golfe et d’Agoè-Nyivé, des maires des communes bénéficiaires et des ingénieurs, a permis d’analyser et de discuter dans les moindres détails, les rapports des deux missions, avant leur validation technique. Des recommandations ont été faites par les participants pour permettre aux consultants de parfaire le document.
Ce projet s’inscrit dans la grande vision de Son Excellence Monsieur Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République, de doter notre pays d’infrastructures routières modernes afin de permettre à tous les Togolais de bénéficier de ses multiples avantages notamment la paix, la croissance économique et le développement.
A la clôture des travaux, le secrétaire général Dr Kossi Gbati OUADJA, a, au nom du ministre de l’urbanisme, de l’habitat et de la réforme foncière, indiqué que ce projet vise non seulement à fluidifier la circulation et à réduire les embouteillages, mais aussi à améliorer les conditions de transport des populations, en facilitant l’accès aux marchés et aux services essentiels.
Pour le docteur OUADJA, ce projet va renforcer la connectivité urbaine, la réduction des coûts de transport, l’amélioration de la sécurité des usagers et contribuer au développement de notre capitale. Il vise aussi et surtout à Renforcer l’inclusion et l’harmonie sociales et à garantir la paix.
L’approbation des rapports, à condition pour les consultants d’intégrer les recommandations issues des échanges, constitue une étape où les préoccupations techniques, économiques et environnementales ont été prises en compte. Ce qui leur permet d’avancer sur les autres étapes de leurs missions.
