Gouvernance foncière au Togo: Des chefs traditionnels, élus locaux et autres acteurs désormais outillés.

Gouvernance foncière au Togo: Des chefs traditionnels, élus locaux et autres acteurs désormais outillés.

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Elle a permis à la délégation d’amener la bonne nouvelle du 18 au 24 Novembre aux chefs- lieux de quatre régions du pays (Kara, Dapaong, Sokodé, Atakpamé) puis Notsè avec un pool d’acteurs   .Il s’agit pour le ministère avec l’appui de la Fondation Konrad Adenauer, de la FAO et du PNUD de partager avec les participants les innovations contenues dans la loi et ses implications, permettre sa  meilleure compréhension et de créer un cadre favorable à sa mise en œuvre.

Des modules animés par des experts (le DC, Dr EDOH Komlan, le DG CUH, Koffi Kouma DAKEY, le DG de CITAFRIC, Koudjo AIDAM et Me Kokou   AGBODJI) ont permis aux chefs traditionnels, élus locaux et autres acteurs d’être aguerris pour mener à bien la politique de la sécurisation foncière de ce nouveau code:

– Présentation de la loi  N° 2018-005 du 14 juin 2018 portant code foncier et domanial

-Réformes institutionnelles et rôle des élus locaux et de la chefferie traditionnelle.

-La réforme en matière d’appropriation et de gestion des terres rurales

-Les apports du code dans la problématique d’accès de la femme à la terre

-L’acte notarié comme sécurité de transaction immobilière.

Pour Mme le ministre Koko AYEVA le code foncier constitue l’un des premiers pas nécessaires à la modernisation du cadre de gestion du foncier et vise à permettre à tout un chacun d’exercer en toute quiétude ce droit humain fondamental qu’est le droit à la propriété. C’est pourquoi a-t-elle demandé aux participants d’aller jouer leur partition pour l’amélioration de la gouvernance foncière au Togo.

Lancés par la ministre à Kara ces ateliers ont pris fin à Notsè avec un pool d’acteurs venus de tous les coins du pays notamment des juristes, des chefs traditionnels, des représentantes d’organisations féminines ainsi des journalistes.

Des doléances allant d’une sensibilisation plus accrue des chefs de village à travers réunions, caravanes et émissions radiophoniques synchronisées ont été formulées par les participants.

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